Vivre Autrement

Dans ma vie, le livre Le Pouvoir du Moment Présent de Eckhart Tolle à été un des éléments déclencheurs d’un grand changement intérieur.

Presque 20 ans se sont écoulés depuis ma toute première lecture de ses écrits et je considère toujours que monsieur Tolle est un grand Maître sur Terre. Ses paroles remplies de sagesse nous éclairent la voie comme peu savent le faire. Il est une source d’inspiration qui donne l’envie de s’ouvrir à la Présence encore et encore.

Laisse-toi aller à ressentir le message plutôt que de le comprendre avec ta tête. L’énergie que ce message contient est bienveillante et la voix de Vincent Davy apaise et facilite le retour en nous, en notre Centre.

Là où la maladie n’existe pas.

Si en ce moment, tu vis la maladie, sers-toi en pour te propulser vers la Réalisation, l’Illumination.

Abandonne-toi dans cette douleur physique et mental. Lâche tout. Vraiment.

Deviens l’observateur de cette expérience. En aucune façon tu n’es victime, même si c’est dure à accepter pour l’humain parfois. Prends de lentes et profondes respirations, reviens en toi, dans la Présence aussitôt que tu t’aperçois que tu es retourné dans tes pensées de souffrance et de peur.

Et enfin, rappelle-toi que tu es gardée et protégée par ton Soi divin, peut-être pourrais-tu lui laisser les reines désormais!

Comment transformer la maladie en illumination

« Si une personne a une grave maladie et accepte totalement sa situation, n’aura-t-elle pas complètement perdu la volonté de retrouver la santé ? La détermination qui la pousserait à lutter contre la maladie n’aurait-elle pas disparu?

Lâcher prise, c’est accepter intérieurement ce qui est sans réserve. Ce dont il est question ici, c’est de votre vie en cet instant et non des circonstances ou de ce que j’appelle vos conditions de vie. Nous en avons déjà parlé.
C’est ce que cela veut dire en ce qui a trait à la maladie. La maladie fait partie de vos conditions de vie. Elle a un passé et un futur qui se perpétuent sans fin, sauf si l’instant présent, qui a le pouvoir de racheter, est activé par votre présence consciente. Comme vous le savez, derrière les diverses circonstances qui constituent vos conditions de vie – présentes dans le temps, il y a quelque chose de plus profond, de plus essentiel : votre vie, votre Être même dans l’éternel présent.

Comme il n’y a aucun problème dans le moment présent, il n’y a pas de maladie non plus. Quand quelqu’un adopte une croyance vis-à-vis de votre état et vous colle ainsi une étiquette sur le dos, celle-ci amène l’état à s’installer pour de bon, lui donne du pouvoir et fait d’un déséquilibre temporaire une réalité apparemment immuable. La croyance confère non seulement réalité et consistance à la maladie, mais aussi une continuité temporelle qu’elle n’avait pas auparavant. En vous concentrant sur l’instant et en vous retenant de l’étiqueter mentalement, la maladie est réduite à un ou à plusieurs des facteurs suivants : la douleur physique, la faiblesse, l’inconfort ou l’invalidité. C’est ce face à quoi vous lâchez prise maintenant, et non pas à l’idée de la maladie.

Permettez à la souffrance de vous ramener de force dans le « maintenant », dans un état d’intense et consciente présence. Utilisez-la pour arriver à l’éveil.
Le lâcher-prise ne transforme pas ce qui est, du moins pas directement. Il vous transforme, vous. Et quand vous êtes transformé, c’est tout votre monde qui l’est. Pourquoi ? Parce que le monde n’est qu’un reflet. Nous avons déjà parlé de cela.

Vivre Autrement

Si vous regardiez dans un miroir sans aimer ce que vous y voyez, il faudrait que vous soyez fou pour vous attaquer à votre réflexion. Et c’est précisément ce que vous faites lorsque vous ne vous acceptez pas. Évidemment, si vous attaquez l’image, celle-ci vous le rend coup sur coup. Par contre, si vous l’acceptez quelle qu’elle soit, si vous vous montrez amical envers elle, elle ne peut que l’être envers vous. C’est la façon de changer le monde.

Le problème, ce n’est pas la maladie, c’est vous, aussi longtemps que le mental contrôle les choses. Lorsque vous êtes malade ou invalide, n’ayez pas le sentiment d’avoir échoué d’une manière ou d’une autre, ne vous sentez pas coupable. Ne reprochez pas à la vie de vous avoir traité injustement et ne vous faites pas non plus de réprimandes. Tout cela, c’est de la résistance.

Si vous avez une maladie grave, servez-vous-en pour atteindre l’illumination. Tout ce qui peut arriver de « mal » dans votre vie doit vous amener vers cet état. Dissociez le temps de la maladie. Ne conférez ni passé ni futur à la maladie. Laissez-la vous ramener de force dans l’intense conscience du moment présent et observez ce qui se passe.

Devenez un alchimiste. Transformez le vulgaire métal en or, la souffrance en conscience, le malheur en une occasion d’éveil.

Êtes-vous gravement malade et ce que je viens de dire vous met-il en colère ? Alors, c’est le signe flagrant que votre maladie a fini par faire partie du sens que vous avez de vous-même et que vous protégez votre identité, en même temps que vous protégez votre maladie. La circonstance qui porte l’étiquette « maladie » n’a rien à voir avec ce que vous êtes vraiment. »

Eckhart Tolle

SVP, ne piratez pas, si ce livre vous intéresse, cliquez ici

{"email":"Email address invalid","url":"Website address invalid","required":"Required field missing"}
>